
« Racaille, le vocable étant sans doute un peu faible. »Lorsque Nicolas Sarkozy emploie des formules choc, c’est un choix délibéré et calculé.
Dans sa campagne, qu’il mène depuis 2002, rien n’est laissé au hasard : le candidat doit s’imposer, c’est à dire gagner des parts de marché sur ses adversaires.
Pour cela, il lui faut marquer les esprits. Malheureusement pour Sarkozy, c’est à tout prix.