Née sur les internets mondiaux en 1997, j’ai tenu mon premier blog en 2005. Il s’appelait Cap sur le Oui, et c’était un blog de campagne en faveur du Référendum pour l’adoption de la Constitution Européenne. J’ai ensuite eu pas mal de blogs différents.

Mais ma vie sur les internets avait commencé bien avant, avec des collaborations bénévoles ou rémunérées sur des sites internet de cinéma. Si j’ai en premier lieu écrit beaucoup sur le 7ème art, de 1998 à 2005, j’ai peu à peu partagé mes analyses politiques, de 2005 à 2012. En 2009, j’ai créé mon compte Twitter, prolongement naturel du blog.

Cette diversion a modifié la ligne éditoriale du blog, qui est devenue plus généraliste. Enfin en 2010, je me suis mise à bloguer foot, Italie et lifestyle : le blog est devenu généraliste. Ce blog avait alors pour vocation de reprendre tous les textes que j’ai pu écrire depuis mon arrivée sur internet, en 1997. L’import de tous les textes prendra quelques années, notamment pour toute la partie Cinéma, qui compte à elle seule plus de 1000 textes. Comme je suis graphiquement une quiche, la bannière d’alors a été réalisée par Maxime Pisano. Merci à lui !

J’ai cessé de l’alimenter fin 2014, lorsque j’ai intégré la campagne d’Alain Juppé pour la primaire de la droite et du centre : alors responsable de la veille internet, j’aurais pu perdre de mon indépendance éditoriale et/ou mes écrits auraient pu être mal interprétés par les bien-pensants des internets.

Depuis, on m’a régulièrement demandé de reprendre ce blog et début 2018, j’ai fini par céder. Le blog étant redevenu essentiellement politique, j’ai repris la vieille bannière des années 2010. Si quelqu’un veut me proposer une meilleure illustration, il ou elle est le/la bienvenu(e).

Je profite de cette page pour remercier toutes les personnes qui font des illustrations que l’on trouve sur internet. Elles permettent d’égayer les articles et je tiens à les remercier du fond du coeur pour le temps qu’elles passent là-dessus. Si certaines trouvent parmi mes articles leurs illustrations, qu’elles n’hésitent pas à me communiquer leur nom, et je les créditerai ici, afin de leur rendre le juste hommage qu’elles méritent.