UEMedef14 : C’est bientôt !

IMG_1304Comme chaque été, j’ai surveillé ma boîte mail, dans l’attente de recevoir le sésame : l’invitation à participer à l’Université d’Eté du Medef.

Mon attente a été récompensée, et j’ai aussitôt confirmé ma participation : comment rater cet événement ?

Cette année, ce sera le mercredi 27 et le jeudi 28 août. Le lieu ne change pas, ce sera toujours au Campus HEC, à Jouy-en-Josas.

La plupart des gens imaginent le Medef comme la caricature qu’on connaît, les vilains patrons, et n’imaginent pas qu’on puisse apprécier de passer 2 jours avec eux.

IMG_1328Pourtant, l’Université d’Eté du Medef est loin de ces clichés.

Pendant deux jours, les conférences débats s’enchaînent dans plusieurs salles, autour d’intervenants de qualités et de membres du gouvernement.

La droite et la gauche sont représentés à la table. Chacun exprime sa vision. Et c’est plutôt de très bon niveau.

Plus les années passent, plus le participatif est pris en compte et depuis deux ans déjà, on peut commenter en direct les tables-rondes et voir apparaître ces messages sur l’écran géant de la salle de conférences. Certains sont relayés par le meneur de jeu, qu’il s’agisse d’observations ou de questions.

IMG_1347Mais l’UE, c’est aussi une ambiance. Un campus décontracté, à Jouy en Josas, où chacun peut échanger avec les autres participants autour d’un café-croissant, d’un déjeuner ou du dîner.

Car qui dit Université d’Eté dit soirée ! Et oui, les patrons aussi ont le droit de se lâcher. Chaque année, c’est le moment privilégié où je retrouve une de mes vieilles connaissances, un de mes anciens patrons.

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Enfin pour terminer, les blogueurs et twittos sont très bien accueillis, aussi bien que la presse, par Nicolas STOOP, Community Manager du Medef.

Une salle est mise à leur disposition, avec écran de retransmission des conférences de la salle plénière. Cet amphi est naturellement équipé de prises pour brancher les ordinateurs ou recharger les portables.

Afin que le blogueur/twittos ne manque de rien, il a à disposition boissons et sucreries, ainsi que la presse du jour. De quoi couvrir l’événement en toute sérénité !

IMG_1305Autant dire que j’ai hâte d’être à la semaine prochaine, pour y retrouver notamment mon fidèle @nobr_ (4ème UEMedef en duo !) mais aussi @sophie_cm ou pour la première fois mon frère @gilloux99.

Cerise sur le gâteau : on annonce Alain Juppé à la plénière du mercredi soir. Voilà qui annonce du très très haut niveau pour l’édition 2014 !

A suivre ici et sur twitter, bien sûr.

#UEMedef11 : Day Three

Après une trop courte nuit, je n’étais pas dans la meilleure des formes pour attaquer la dernière ligne droite de cette université d’été. C’est donc l’esprit passablement embrumé par les vapeurs d’alcool de la soirée de la veille et la fatigue de ces journées intenses, que je suis arrivée en salle des blogueurs. Avec mon arme fatale : le demi-litre de café.

J’ai rapidement pu constater que Nobr n’était pas en meilleur état : alors que nous souhaitions assister à la conférence sur l’égalité des chances, nous nous sommes rendus en plénière. Il nous a fallu cinq longues minutes pour réaliser que si Borloo n’était pas présent, c’est tout simplement… parce que nous nous étions trompés de salle. Heureusement, dans le Hall, la table ronde n’avait pas encore débuté.

A peine installée, appareil photo en bandoulière et Ipad-et-clavier-d’Ipad sur les genoux –ce qui n’est pas forcément hyper pratique-, mes narines ont subi une intense attaque chimique de la part de notre voisin photographe… complètement imbibé de whisky. A 9h du matin, oui. Et non, ça n’était pas Borloo, mais le photographe. Point de rumeurs ici. A tel point que je me suis demandée si je pouvais finir bourrée rien que par les effluves qu’il dégageait. Le photographe, hein. Pas Borloo qui lui, était à l’Evian. Ce qui ne m’a pas mise dans les meilleures conditions pour suivre cette table ronde. Les odeurs de whisky hein. Pas l’Evian dans laquelle j’aurais pu me noyer. Ou noyer le photographe.

Bref. La première victime de ma mauvaise humeur fut Nicolas Rossignol, son animateur, que je n’ai pas épargné sur Twitter. En même temps, au bout de trois jours, on est crevés, et le moindre faux pas ne pardonne pas : comment peut on perdre autant de temps précieux de parole à raconter des vannes qui ne font rire que lui ? Brillant journaliste, peut être, mais question humour, il va falloir retourner à l’école du rire…

Ce débat sur l’égalité des chances présentait avant tout le mérite de réunir sur un même plateau Raymond Soubie, ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, et Jean-Louis Borloo, ancien ministre en charge de l’égalité des chances. Mais aussi de grands patrons comme Christophe de Maistre, Clara Gaymard, ou encore Augustin de Romanet. Bien qu’un peu fouillis, cette table ronde fut l’occasion pour tout ce beau monde de dresser un constat plutôt optimiste sur les forces et les faiblesses de nos entreprises, et d’entrevoir quelques pistes d’amélioration. Même si on n’a pas totalement compris tout ce qu’avait voulu nous dire Jean-Louis Borloo… dont nous attendions beaucoup, beaucoup, beaucoup. Donc on aurait aimé plus, plus, plus… et surtout plus clair.

Juste après -et après un petit dodo pour Nobr- c’est depuis la salle des blogueurs que nous avons suivi la plénière de clôture sur le thème de la dialectique du leadership et de la générosité, animée par Laurence Parisot herself. Une thématique  un peu abstraite, quasi philosophique, pour terminer cette université d’été sur une note d’optimisme. Cette table ronde réunissait notamment M. Piennar, M. Ricard et M. Picard. Ou comment le Medef avait prévu pour l’apéro du vin, du pastis, et des glaçons. Après le whisky, l’apéro… Rude journée. Blague à part, François Piennar n’est autre que l’ancien et premier capitaine de l’équipe de rugby d’Afrique du Sud, à qui Hollywood a consacré le biopic Invictuus.

A ce stade, nous étions dans un tel état de décomposition que Nobr s’est mis à faire des expériences métaphysiques à base de bouteille de coca et bracelet métallique. No comment. D’autant que les deux gloussements de cruche sont… les miens. Personne n’est parfait.

Ainsi s’est achevée cette université d’été. Après un dernier déjeuner au soleil, nous avons repris une dernière fois la navette, transformée pour l’occasion en sauna, et regagné Paris.

C’était triste comme la fin d’une colo : on y était bien, on s’est fait des copains… Que retiendrai-je de ces trois jours ? Hormis l’excellent accueil, dont j’ai déjà parlé à plusieurs reprises, à l’évidence l’excellent niveau des travaux proposés, et la qualité des intervenants invités à prendre la parole.

Alors encore merci à Katia et Nicolas, et… à l’année prochaine !

#UEMedef11 : Day Two

©Feuillu© Feuillu

Après avoir blogué toute la nuit, il était un peu évident que le réveil serait compliqué. Et si j’avais vaillamment programmé mon réveil pour dormir 1h, il a bien fallu se plier à l’implacable réalité : j’avais besoin de dormir. C’est donc sans complexe que j’ai zappé la matinée : si une table ronde m’intéressait, j’avais ensuite un trou, et il y a fort à parier que j’aurais fini par ronfler au soleil. Le risque de me retrouver défigurée par la marque des herbes sur les joues -vous savez ces marques qui trahissent que vous avez dormi sur ci ou ça- était bien trop élevé.

C’est donc reposé -enfin si l’on veut, j’ai dormi 4h- que je débarque sur le Campus HEC, en voiture avec chauffeur. Parce qu’à ce stade, je ne marche déjà plus très droit. Et pourtant je n’ai encore rien bu. Imaginez après…

Par le plus pur des hasards, mon arrivée colle pile poil avec le déjeuner. Après un petit tour en salle des blogueurs, qui me permet de constater que mes camarades, sont, eux sérieux, j’attrape mon panier repas, et file m’affaler sur les pelouses en compagnie de Nobr_. Par mesure de précaution, je programme l’alarme de mon Iphone…

Ce petit bain de soleil achevé, et rechargée en vitamine A -maintenant, merci de me livrer la C- nous rejoignons l’Espace Adhérents, où se tient une conférence sur les réseaux sociaux. Nous nous installons dans la tente, conscient que cet atelier ne s’adresse pas vraiment à nous. En effet, cet échange a pour objectif d’intéresser les patrons à cette question, et leur donner un avant goût d’une conférence plus complète qui se tiendra au Medef d’Ile-de-France le mois prochain. Il n’est donc pas question d’entrer dans le fond du sujet, mais plutôt de faire un premier pas vers une population plutôt néophyte en la matière.

Les intervenants sont, je dois bien l’avouer, de qualité variable. A titre personnel, j’ai beaucoup de mal avec Vincent Ducrey, chef des blogueurs sarkozystes pendant la campagne de 2007, et auteur du Guide de l’influence.

Personnellement, je n’avais pas été impressionnée par sa gestion des blogueurs et du buzz durant la campagne, mais plutôt atterrée. Pas plus que je ne le considère comme un influent, notion vague souvent attribuée par soi même et non réellement par le réseau : étiquette de l’égo. C’est dire s’il n’est pas ma came… Comme il se prend pour un influent, il n’hésite pas à user des clichés du genre, en répondant par exemple à son téléphone pendant l’atelier. As de la procrastination ? La première info qu’il nous livre, c’est que « sur les réseaux sociaux, ça bouge extrêmement rapidement ». Nan sans dec ???

Le conflit d’agenda avec les autres ateliers avait posé d’emblée la problématique, à savoir que nous quitterions cette table ronde en cours de route. Ce moment arrive finalement assez vite. Non seulement nous ne sommes pas le public ciblé -même si je trouve intéressant de voir la relation Medef/adhérents dans cette activité qui leur était proposée- mais en plus, Nobr a rapidement un souci avec sa voisine, lorsque celle-ci décide de vider son flacon de parfum au lieu de délicatement s’asperger de douces effluves. « Ca me pique la bouche », me dit Nobr_. Constatant qu’il est réellement victime d’un attentat olfactif, qui en plus se répand dans la salle et atteint désormais mes propres narines, nous prenons nos clics –ah ah- et nos claques. C’est donc contraint par ces odieux acte terroriste que quittons l’atelier, non sans avoir entendu dans la bouche de Geoffroy THE Quote of the day : « ce phénomène est monté à une vitesse phénoménale« . Au moins !

A ce stade de la journée, le conflit d’agenda devient de plus en plus pressant. D’un côté, je tiens absolument à participer à la conférence sur le pacte social, en plénière, cette thématique étant à la fois un des sujets du G20 et de la campagne présidentielle. De l’autre, j’ai envie d’assister à la rencontre entre les blogueurs et Laurence Parisot… initialement prévue pour ½ heure à 16h, mais dont notre G.O. Nicolas nous a déjà prévenue qu’elle pourrait être plus tard et plus courte, selon l’agenda. Bien envie de lui demander si comme Ducrey, il pense que « ça bouge extrêmement vite ».

Je coupe alors la pomme en deux –non, pas la poire, en bonne chiraquienne je mange des pommes !-, je file en plénière prendre les photos de la table ronde –dont cette magnifique de Xababa !-, traverse tout le site, en croisant au passage Frédéric Mitterrand, et me dirige vers la salle des blogueurs où est diffusé le feed de la salle plénière. Enfin en théorie. La encore, merci à notre G.O. Nicolas pour son attention envers chacun. A l’instant où je pousse la porte, il est déjà sur le pont pour m’annoncer le problème de réception du feed et les démarches entreprises pour le régler. Juste parce qu’il a retenu notre discussion de ce midi dans laquelle je lui ai annoncé vouloir suivre cette conférence. La classe !

Cinq minutes après, nous avons la retransmission : la régie avait omis que nous voulions voir TOUTES les plénières…

Ce qui me permet donc d’assister à une large partie des débats et notamment à ce qui m’intéresse le plus en tant que blogueuse politique : les échanges gauche/droite, sur ce sujet clivant, entre Anne Hidalgo et Xavier Bertrand. Deux approches, avec en ligne de mire, la présidentielle. Après une longue attente -sur cette UE, elle est évidemment très sollicitée-, Laurence Parisot tient son engagement de venir nous saluer. J’avoue être curieuse de voir comment ce comporte ce bout de petite bonne femme. L’échange est hélas trop court, mais le geste reste appréciable.

Pendant ce temps, Nobr assistait à une conférence sur le thème Halte aux Extrêmes, dont il me dit le plus grand bien pendant la pause goûter que nous nous accordons dans le jardin qui jouxte notre salle des blogueurs.

En théorie, cette pause est censée être courte, juste le temps de céder à mon addiction à la nicotine. Dans la réalité, je prends racine.  Tout ça parce que je croise consécutivement Matt, un copain de y’a longtemps, avec qui j’ai une discussion passionnante sur l’éducation. Puis Lou, le père d’un pote de la ligue dissoute. L’occasion de prendre des nouvelles, et naturellement, de discuter de politique… et de la présidentielle à venir. Y’a vraiment trop de potes de droite ici.

Pendant ce temps, Nobr_ assiste à la plénière sur le féminisme où j’aurais donc en théorie du le rejoindre. Du coup, j’assiste à la fin des débats en salle des blogueurs. Ce lieu si calme où chacun vaque à ses occupations le nez dans son PC : écriture des textes, photos, montage vidéo, Facebook, Twitter, lecture de la presse en ligne, prise de note sur la table ronde en cours, … Un havre de paix au coeur de la fourmilière. De cette table ronde, je retiendrai surtout l’intervention de Virginie, pilote de chasse et première femme à avoir dirigé la patrouille de France. Bien que parfois un peu simples –mais non simplistes !- ses propos sont remarquables… et remarqués par la salle qui l’applaudit à tout rompre. Mais noté également les propos de Jean-François Copé sur la parité en politique : l’occasion de réfléchir un peu à cette question si souvent éludée…

A l’issue de cette plénière, je prends le chemin de l’Espace Business Innovation, lieu truffé de stands dédiés aux innovations, souvent technologiques, qui se transforme le soir en lieu festif où se tient, à l’issue du dîner, la fiesta. Direction l’apéro, qui nous permet de rencontrer une adhérente fort sympathique, avant d’enchaîner avec le dîner et la soirée.

Vous l’aurez remarqué, cette journée aura été pour moi moins intense que la première. D’ailleurs, si le Medef veut proposer à ses adhérents un petit atelier sur la procrastination, je veux bien intervenir : en tant que Blogueuse et Twitter’s, je suis durement frappée par ce phénomène. Mais ne croyez pas que cela nuise forcément à la productivité. En effet, même en ayant peu mis les pieds en plénière, j’ai passé une journée fort riche en rencontres, qui auront permis d’alimenter ma réflexion, et mon regard sur cette UE.

#UEMedef11 : Medef by night

Le cocktail se tient sur la terrasse, où je retrouve Nobr_. Passé le premier verre, je me décide à lui apprendre une vieille technique de soiffarde : réclamer deux verres, comme si nous rechargions pour des amis, afin d’éviter de trop nombreux allers/retours au bar. Il ne connaissait pas ! Ouuuuhhhh !!!

Et c’est notre créativité dans la gestion du stock de verres qui nous permet d’engager la conversation avec une jeune chef d’entreprise. Intriguée par la technique, la conversation dévie rapidement sur ses attentes en ce qui concerne cette université d’été.

A l’heure du dîner, je confie à Nobr_ la lourde tâche de choisir la tablée où nous allons nous installer. Notre critère est simple : une table de jeunes, afin de ne pas nous ennuyer. C’est ainsi que nous échouons à la table des jeunes exposants de Balloon, une solution innovante d’interactivité qui  avait déjà retenu notre attention par son utilisation lors des conférences. Le concept est simple : grâce à l’envoi de sms ou de tweets, l’animateur de conférence peut relayer les questions et réactions de la salle au cours d’une conférence. Au-delà de la discussion sur cette initiative qui ne peut qu’intéresser les fans du live-tweet que nous sommes, le repas se déroule dans une ambiance franchement détendue. Les jeunes parlent au jeunes…

C’est le moment que choisit notre autre G.O. Katia, la JRI du Medef, pour m’envoyer un message m’indiquant qu’elle se trouve sur la terrasse avec mon pote Raph, de la direction des adhérents. Ni une, ni deux, je m’expatrie avec Nobr_ sous le bras, et nous voilà en compagnie des permanents du Medef. Il en sera ainsi jusqu’à ce que nous nous décidions à regagner nos pénates…

L’occasion pour nous d’en apprendre un peu plus sur l’organisation de cet événement. Stéphane Seigneurie, chef cab de Laurence Parisot, me confirme ainsi que la patronne des patrons aurait aimé passer plus de temps avec les blogueurs mais qu’hélas, son agenda étant trop fluctuant lors d’un pareil événement, il avait été impossible de faire plus. J’en profite alors pour lui placer mon idée de la faire venir au Club Bourbon. Nous verrons.

La suite des échanges, que ce soit avec Stéphane ou Vincent, qui me donne tout de même quelques infos exploitables sur ce blog dans le cadre de ses fonctions de Directeur des adhérents, est plus personnelle. Nous nous connaissons depuis longtemps : c’est l’heure se de donner des nouvelles… et de revenir sur nos souvenirs de guerre. Rien qui ne pourrait vraiment vous intéresser. Au loin, raisonne la musique de la soirée qui se tient sur la mezzanine de l’EBI. Je ne peux m’empêcher de m’esclaffer lorsque j’entends Les lacs du Connemara, de Sardou : soooo cliché!

Enfin nous en profitons pour cuisiner nos GO sur leurs critères de choix pour sélectionner les blogueurs invités : une question qui nous turlupine depuis le début de cette UE, étonnés que nous sommes de figurer sur la liste. D’autant que je sais ne pas avoir été pistonnée par mes connaissances en interne. La réponse est simple : les critères ne sont pas gravés dans le marbre, et le Medef raisonne à la fois en terme de thématiques et par coup de coeur. En ce qui nous concerne, c’est Twitter qui nous a permis de nous faire remarquer. Okkaaayyyy !

#UEMedef11 : du côté des adhérents

©Feuillu

Nous l’avons rencontrée pendant l’apéritif du jeudi et d’ailleurs, nous ne connaissons même pas son nom. D’elle, nous savons juste qu’elle travaille dans la filière de la céramique. Dans ce cadre décontracté, elle a cependant accepté de se confier en quelques mots sur cette université d’été.

« Ici, je rencontre en trois jours des gens que je mettrais des mois à rencontrer, et dans un cadre informel plus propice à des discussions ouvrant sur des points qui seraient parfois plus difficiles à aborder dans un rendez-vous plus rythmé. ». L’université d’été du Medef, un accélérateur de particules ! Et un facilitateur de Business, c’est certain.

L’on comprend alors mieux pourquoi cette université d’été ne rencontre aucun problème de mobilisation, comme me le confie Vincent Le Roux, le directeur des adhérents : « Nous accueillons sur site autant de personnes qu’il est possible dans accueillir : nous ne pourrions en avoir plus. »

Il est vrai que le tarif très faible -65 euros par personne cette année incluant l’accès au site, les repas, les navettes, mais sans l’hébergement- permet à toutes les bourses, y compris les très petites entreprises, d’y participer.